Du 04 juin 1998 au 14 juin 1998

NARCISSE CENSURE; LA VIDEO COMME CRITIQUE DE L'AUTOCENSURE

CLAUDETTE LEMAY, «J’voulais parler» (Québec, 1997, 8 min. 30 sec., v.o. française)
CLIO BARNARD, «Colour Bar» (Angleterre, 1995, 4 min., sans dialogue)
LINDA MELNYCHUCK, «Figuring» (Québec, 1994, 5 min. 15 sec., v.o. anglaise)
GABRIELLE SCHLOESSER, «La fontaine de l’oubli» (Québec, 1990, 9 min., v.o. française)
Conservatrice : Sophie Lefebvre (Montréal)

Exposition du 4 au 14 juin 1998

L’autocensure du corps féminin en art apparaît comme une censure de l’autoreprésentation: moins que le corps lui-même, c’est l’image du corps, sa propre image, qui est censurée par l’artiste. Ce sujet a fait l’objet d’une exposition cette année, «Espaces de l’autocensure». Pour accompagner le lancement de la publication annuelle de La Centrale, dans laquelle se retrouvent deux textes sur l’autocensure, celui de Sandrine Martinet et celui de Sophie Lefebvre, nous présentions une programmation vidéo sur le sujet.

NARCISSE CENSURE; LA VIDEO COMME CRITIQUE DE L'AUTOCENSURE
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